• Et voilà encore un mois fini et passé sans que nous n'ayions pu profiter de toi. J'ai un cafard à couper au couteau ces jours-ci. Cette date du 3 est maudite.

    Je viens d'écouter une chanson de David Hallyday que je voudrais te dédier parce qu'elle dit bien ce que je te dis, entre autre, très fort dans ma tête.

    Ecoute-là toi aussi.... Avant d'appuyer sur play, arrête la musique de fond du blog en cliquant sur le bouton rouge dans la partie Fond musical, colonne de gauche en haut.

    J'reste
    avec mes souvenirs
    ces morceaux de passé
    comme un miroir en éclats de verre
    mais à quoi ça sert

    Ce que j'voulais te dire
    reste sur des pages blanches
    sur lesquelles je peux tirer un trait
    c'était juste hier

    Tu ne m'as pas laissé le temps
    de te dire tout c'que je t'aime
    et tout c'que tu me manques


    On devrait toujours dire avant
    l'importance que les gens prennent
    tant qu'il est encore temps
    mais tu n'm'as pas laissé le temps

    Toi qui m'as tout appris
    et m'as tant donné
    C'est dans tes yeux que je grandissais
    et me sentais fier

    Pourquoi sans prévenir
    un jour tout s'arrête
    et vous laisse encore plus seul sur terre
    sans savoir quoi faire


    Tu ne m'as pas laissé le temps
    de te dire tout c'que je t'aime
    et tout c'que tu me manques

    on devrait toujours dire avant
    l'importance que les gens prennent
    tant qu'il est encore temps
    tu n'm'as pas laissé le temps

    Laissé le temps...

    Tu ne m'as pas laissé le temps
    de te dire tout c'que je t'aime
    et tout c'que tu me manques

    on devrait toujours dire avant
    l'importance que les gens prennent
    tant qu'il est encore temps

    Dire avant.........


    L'dire avant.........

    Tu ne m'as pas laissé le temps
    de te dire tout c'que je t'aime
    et tout c'que tu me manques

    on devrait toujours dire avant
    l'importance que les gens prennent
    tant qu'il est encore temps

    Dire avant..........


    .....................    que je t'aime et que je t'aimerai toujours, Fabien, mon fils.





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  • J'ai oublié de te dire (bon, je sais que tu le sais déjà puisque tu étais là) qu'hier midi, nous avions à table, en plus de ta tata Evelyne et ton tonton Didier, ton cousin Olivier, la maman d'Evelyne qui se prénomme Annie et notre ami Jean-Luc.

    Annie m'a amené un bouquet de roses roses




















    et Jean-Luc, deux bouquets composés de marguerites, roses, etc... ; il y en avait un pour moi et un pour toi (le coquin avait lu le blog et a su par là que j'ai mis un vase au cimetière).

    Ce matin, ton papa de coeur est rentré de bonne heure du travail et on est donc allés au cimetière pour nettoyer le monument sali par le vent et la pluie et pour te fleurir encore un peu plus.

    Merci, Jean-Luc.

    C'est le mien ; le tien a des roses rouges...


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  • Et oui, après 8 jours en début de mois chez ta mamie que nous avons ramenée avec nous pour une quinzaine de jours, 4 ou 5 jours de visite de ton frère dans la foulée (court mais quel bonheur), puis 3 jours de visite de ta tata Evelyne et ton tonton Didier, nous nous sommes de nouveau retrouvés seuls, ton papa de coeur et moi, hier dans la soirée. Et encore, notre ami Jean-Luc est resté avec nous jusqu'à 18 heures passées.

    Je ne suis pas venue te parler parce que j'avais le coeur gros de ton absence physique et cette solitude soudaine m'a rejeté en pleine figure la dure réalité ; j'avais un cafard à couper au couteau qui m'a tenue éveillée jusqu'à 3 heures du matin malgré la précédente nuit courte ; j'ai pleuré, j'avais envie de hurler... Ce matin, je me secoue et je te veux à mes côtés même si je ne peux te voir. Tu es et tu resteras éternellement dans ma tête et dans mon coeur jusqu'au jour où tu viendras me chercher et où nous nous retrouverons pour une nouvelle vie ensemble.

    Quelques photos de la soirée malgache où nous sommes allés "en bande" :


    Moi et mon frère (ton tonton Didier) : on a tous les deux perdu un enfant.

    Ta tatie de coeur et notre amie Marie-Hélène

    Ta tata Evelyne et notre ami Georges

    Ta tata Evelyne, sa maman Annie et notre amie Viviane

    Ton papa de coeur

    Ton tonton de coeur et notre ami Jacques


    Fabien, 

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  • Cette fois-ci, la météo ne s'est pas trompée : il pleut.

    Ton frère est reparti hier pour la région parisienne (boulot oblige) et il va tenter de se faire remplacer le lundi de Pâques, ce qui lui permettrait de revenir nous voir une dizaine de jours. A suivre...

    Après son départ, ton amie Coralie est venue à la maison comme prévu pour sa première approche avec la peinture à l'huile. Elle a travaillé sérieusement, regarde ça :






















    Elle reviendra pour un autre tableau quand ton frère sera là puisqu'il voudrait lui aussi apprendre à peindre ses dessins à l'huile.

    Ta tata Evelyne et ton tonton Didier sont bien arrivés hier soir. A dix neuf heures, nous rejoignent ta tatie et ton tonton de coeur ainsi que la maman d'Evelyne et nous irons récupérer Marie-Hélène et Georges pour nous rendre à la soirée malgache organisée à la salle des fêtes de Saint Saturnin ; tu te souviens, Fabien, c'est dans cette ville que nous avions organisé la fête pour ton papa de coeur avant que tu tombes malade ? Bref, on t'emmène avec nous même si tu n'apprécies pas trop la cuisine "étrangère". Je pense que tu ne t'ennuieras pas.

    Je reviendrai lundi pour que nous parlions de cette soirée et du repas de dimanche midi à la maison avec ta tata, sa maman, ton tonton et notre ami Jean-Luc.

    Et puis, après le départ de tout le monde demain soir, il me faudra aller faire le ménage à la clinique vétérinaire pour que ce soit propre quand elle ouvrira ses portes lundi matin.

    Je t'embrasse, mon trésor. Reste avec nous.


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  • Oui, mon grand, un petit passage vite fait.

    Ton frère est à la maison jusqu'à vendredi début d'après-midi et j'essaie d'en profiter au maximum ne sachant pas quand il pourra revenir ; ça ne m'empêche pas de penser à toi, toujours à toi.

    Ta mamie est repartie chez elle après une quinzaine de jours passés chez nous.

    Et vendredi soir, nous attendons ta tata Evelyne et ton tonton Didier pour le week-end.

    Je t'embrasse, mon fils.


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