• 10 avril 2014 : ma retraite

    Il y a bien longtemps que je ne suis pas venue te parler ici, mon coeur. Je suis complètement déphasée en ce moment.

    Pendant son séjour chez nous, ta mamie nous a offert le restaurant ; un restaurant bien sympa et où l'on mange bien à Villes sur Auzon.

    Et puis, lundi 1er avril au soir, nous avons débouché tous les trois le champagne pour fêter le jour officiel de mon départ du monde du travail.

    Les amis proches m'ont donné un super coup de main pour préparer la fête qui a eu lieu samedi soir ; nous étions une cinquantaine et nous avons passé une soirée de folie qui s'est terminée à 5h le matin passés. Sûr que je ne suis pas prête de l'oublier. N'y manquaient que mon ex patron préféré qui a eu des problèmes personnels et ton frère dont je n'ai toujours aucune nouvelle. Toi aussi, tu m'as beaucoup manqué mais il me faut gérer mes émotions et apprendre à vivre avec ton absence physique en attendant d'aller te retrouver.

    Ta tata Evelyne, ton tonton Didier et ta mamie ont repris la route pour chez eux lundi dans la soirée.

    Et depuis, je m'attaque à la préparation de la fête qui aura lieu près de chez nous pour les 60 ans de ton tonton ; je vais tout faire pour qu'il en garde de très bons souvenirs.

    En même temps, je cherche un hôtel dans la banlieue parisienne pour le séjour que nous passerons là-bas la première semaine d'août avec Noëlle et Lucien ; ces deux là nous ont d'ailleurs invités ce samedi qui arrive pour une soirée surprise : que nous réservent-ils ?

    Tu vois, mon coeur, je continue ma vie du mieux que je peux mais c'est le fait d'espérer te revoir un jour qui me fait tenir debout. J'ai commencé, avec l'aide de mon psy, à diminuer les anti-dépresseurs jusqu'à un jour prochain où je pourrai les arrêter. J'espace aussi les séances chez l'acupuncteur ; de chaque semaine, on passe à tous les quinze jours.

    Voilà, mon ange, je vais me préparer et rejoindre les amies pour une séance d'aquagym qui changera les idées et fera du bien au corps. Je rigole parce qu'on a tellement dansé à la fête qu'on était toutes à marcher péniblement et moi perso, je me suis payée une belle extinction de voix pendant trois jours tellement j'ai chanté et crié.

    Je t'aime de tout mon coeur, mon fils.

    Bon, je n'arrive pas à rajouter quelques photos de ma fête (l'hébergeur du blog fait encore des siennes) ; je retenterai de le faire bientôt sur une autre page.

     


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