• 21 février 2011 : lundi ensoleillé

    Lundi matin : une nouvelle semaine qui recommence. Sais-tu que je ne les vois plus passer, les semaines ? Le lundi, je fulmine parce que je vais devoir de nouveau recommencer le ménage que j'ai fait la semaine précédente chez mes employeurs et puis, j'arrive au samedi sans m'en rendre compte.

    Dans même pas un mois et demi, nous serons sur le départ pour Paris et sa région. J'ai fait un petit planning parce que 8 jours, c'est court, et je le soumettrai à mes cops Patricia et Kikie quand cette dernière rentrera de son séjour à Londres.

    J'ai réservé deux jours dans le parc Disneyland et une nuit dans un de leurs hôtels partenaires. J'ai fait ça par téléphone ; mon interlocuteur a pris en compte mes demandes pour ce séjour puis m'a donné un numéro de réservation. Je ne le donnerai pas en entier ici mais j'ai eu trop de pensées pour toi quand je l'ai reçu : XXXXX933. Et oui, mon fils, pas XXXXX932 ni XXXXX935 mais XXXXX933. C'est quand même beaucoup de hasards (ainsi penseront certaines personnes) qui me poursuivent, non ?

    Je vais réserver deux places pour le dîner spectacle La légende de Buffalo Bill. Comme dit ton papa de coeur "tant qu'on est là-bas et vu qu'on ne sait pas de quoi demain sera fait, autant en profiter au maximum".

    Et puis, fin mars, j'appellerai ton frère qui me dira si, au vu de son planning de travail d'avril, on pourra trouver une occasion de se voir. Tu le sais que j'aimerais beaucoup le voir, dis, Fab ?

    Ton tonton Didier a eu une permission de quitter l'hôpital de samedi matin jusqu'à hier avant le repas du soir (qui se fait là-bas vers 18 heures). Je vais l'appeler dans l'après-midi pour savoir ce que lui aura dit sa pneumologue. Depuis qu'il est branché sur l'oxygène, il se sent beaucoup mieux. A suivre...

    Samedi soir, j'ai travaillé pour Virginie et Damien jusqu'à 3 heures 30 du matin. Et j'ai été réveillée par le téléphone vers 9 heures. Oups... Hier après-midi, ils sont venus tous les deux pour qu'on complète le projet qui prend forme.

    Je vais d'ailleurs le continuer cet après-midi puisque ton papa de coeur "m'abandonne" pour son cours de peinture.

    Je pense fort à toi à chaque fois que l'on parle de ce mariage parce que tu n'avais que 2 ans de plus que Damien et que je n'aurai jamais le bonheur de prendre ton bras pour t'accompagner à l'autel.

    Pourquoi ? Toi, tu sais pourquoi. En attendant que mon tour vienne, je ne peux que te dire et te répéter que je t'aime et que tu me manques à un point qu'aucun mot existant sur cette terre ne peut l'exprimer.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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